En réponse à un post publié sur Facebook samedi dernier, dans lequel un internaute voulait savoir ce qu’André Mba Obame avait fait de si exceptionnel pour le Gabon pour mériter un tel hommage, ce texto témoigne de la seule action dont tout gabonais est bénéficiaire et dont il devrait se souvenir ; il s’agit de la création au Gabon de la CNMAGS, œuvre d’André Mba Obame, et qui lui vaut d’entrer immédiatement au panthéon du Gabon.
Arrivé en janvier 2002 au ministère de la Solidarité nationale, des Affaires sociales et du Bien-être après le ministère de l’Éducation nationale, porte-parole du gouvernement, AMO va initiée une politique publique originale pour le Gabon, il veut créer une Caisse Nationale d’Assurance Maladie et de Garantie Sociale du Gabon (CNAMGS). Il s’agit d’une caisse unique d’assurance maladie et de garantie sociale ayant pour objectif global de permettre à tous les gabonais d’avoir une couverture sociale des risques lié à la maladie et à la maternité, et pour objectifs spécifiques d’améliorer l’accès aux soins de santé au profit de toutes les couches sociales, en brisant l’obstacle financier ; améliorer l’offre de soins, en fournissant aux prestataires de santé des ressources additionnelles ; garantir une meilleure solidarité nationale, notamment en faveur des plus démunis ; lutter contre la pauvreté et l’exclusion sociale.
Le dossier est fin prêt en 2005, mais Omar Bongo doit solliciter de nouveau le suffrage des gabonais pour un mandat de président de la République. Après sa victoire, AMO est appelé au ministère de l’intérieur, et la CNAMGS sera enfin créée par l’adoption de l’ordonnance n° 0022/ PR/ du 21 août 2007.
En rendant à César ce qui est à César, on ne peut que rendre à AMO, la création de la Caisse Nationale d’Assurance Maladie et de Garantie Sociale du Gabon (CNAMGS). C’est pour cette politique publique particulièrement que l’œuvre d’AMO demeurera éternelle au Gabon et que lui-même mérite d’entrer au panthéon gabonais. Pour rappel, panthéon, vient du grec pántheion, qui signifie « de tous les dieux ». C’est un monument qui a pour vocation d’honorer de grands personnages ayant marqué l'histoire d’un pays. Les corps des illustres fils du pays sont déposés dans ce monument.
Bien qu’il n’en existe pas encore un au Gabon, certains de nos compatriotes mériteraient d’y entrer. En attendant, des critères rigoureux doivent être définis pour entrer dans ce lieu mythique.
Parmi ces critères, en dehors de celui d’être gabonais d’origine, celui de la pertinence de l’acte accompli et bénéfique pour tous les gabonais sans distinction ni de sexe, de l’âge, de religion, ou de toute autre, doit être primordiale.
En leur absence, le premier des gabonais qui remplit pleinement les deux critères est sans contestation aucune André Mba Obame, car, gabonais d’origine, l’assurance maladie dont il est le créateur est une politique publique qui bénéficie à tous les gabonais sans exception.
Arrivé en janvier 2002 au ministère de la Solidarité nationale, des Affaires sociales et du Bien-être après le ministère de l’Éducation nationale, porte-parole du gouvernement, AMO va initiée une politique publique originale pour le Gabon, il veut créer une Caisse Nationale d’Assurance Maladie et de Garantie Sociale du Gabon (CNAMGS). Il s’agit d’une caisse unique d’assurance maladie et de garantie sociale ayant pour objectif global de permettre à tous les gabonais d’avoir une couverture sociale des risques lié à la maladie et à la maternité, et pour objectifs spécifiques d’améliorer l’accès aux soins de santé au profit de toutes les couches sociales, en brisant l’obstacle financier ; améliorer l’offre de soins, en fournissant aux prestataires de santé des ressources additionnelles ; garantir une meilleure solidarité nationale, notamment en faveur des plus démunis ; lutter contre la pauvreté et l’exclusion sociale.
Le dossier est fin prêt en 2005, mais Omar Bongo doit solliciter de nouveau le suffrage des gabonais pour un mandat de président de la République. Après sa victoire, AMO est appelé au ministère de l’intérieur, et la CNAMGS sera enfin créée par l’adoption de l’ordonnance n° 0022/ PR/ du 21 août 2007.
En rendant à César ce qui est à César, on ne peut que rendre à AMO, la création de la Caisse Nationale d’Assurance Maladie et de Garantie Sociale du Gabon (CNAMGS). C’est pour cette politique publique particulièrement que l’œuvre d’AMO demeurera éternelle au Gabon et que lui-même mérite d’entrer au panthéon gabonais. Pour rappel, panthéon, vient du grec pántheion, qui signifie « de tous les dieux ». C’est un monument qui a pour vocation d’honorer de grands personnages ayant marqué l'histoire d’un pays. Les corps des illustres fils du pays sont déposés dans ce monument.
Bien qu’il n’en existe pas encore un au Gabon, certains de nos compatriotes mériteraient d’y entrer. En attendant, des critères rigoureux doivent être définis pour entrer dans ce lieu mythique.
Parmi ces critères, en dehors de celui d’être gabonais d’origine, celui de la pertinence de l’acte accompli et bénéfique pour tous les gabonais sans distinction ni de sexe, de l’âge, de religion, ou de toute autre, doit être primordiale.
En leur absence, le premier des gabonais qui remplit pleinement les deux critères est sans contestation aucune André Mba Obame, car, gabonais d’origine, l’assurance maladie dont il est le créateur est une politique publique qui bénéficie à tous les gabonais sans exception.
La Rédaction
sogevale@gmail.com
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